Eden Project
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Macarons Ladurée
Patrícia Candoso, révélée par la saison 1
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Les D'ZRT, révélés par la saison 2
Chaque année, l’équipe d’acteurs se renouvelle et petits et grands, plus ou moins connus, évoluent et leur talent se montre au grang jour (exemple du jeune et prometteur Diogo Martins). Chaque année, c’est donc une vague de fraîcheur qui s’abat sur le Portugal.
Diogo Martins (joue actuellement dans Floribella)
Mais cette année, la telenovela Floribella fait concurrence « aos Moranguitos ». 
Et, à l’inverse, Floribella, c’est toute une histoire : l’histoire d’une cendrillon des temps modernes, confrontée à un amour impossible, une histoire qui peut se résumer par une de ses chansons, intitulée Pobre dos ricos. Et c’est bien à travers ses rêves que l’on découvre Flor, cette pauvre femme de 18-19 ans, qui ignore être héritière d’une grande fortune…
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NB : Floribella connaît un tel succès qu'une ligne de vêtements, semblables à ceux que porte l'héroïne, est commercialisée... (cf photographie ci-dessous)
Eh les keufs eh les meufs dans le RER
Réalisateur : Milos Forman
Acteurs principaux : Tom Hulce (Wolgang Mozart), F. Murray Abraham (Antonio Salieri) et Elisabeth Berridge (Constanze Weber).
Wolfgang Amadeus et sa femme, Constanze
Amadeus est un grand film, qui obtint 8 oscars. Celui-ci met en scène la vie de Mozart (ses grandes œuvres plus que talentueuses, sa vie familiale, son goût pour les fêtes, ses dettes, sa mort…) à travers les paroles de Salieri, qui fut un des plus grands compositeurs de la cour de Joseph II (empereur d’Autriche), avant l’arrivée de Mozart. (Et c’est bien là, l’une des originalités de ce film…) 
Mozart donnant une représentation
Antonio Salieri
Iguaçu, vue aérienne : une faille donne naissance aux célèbres chutes... les formes de la Terre se dessinent...
[...] "J’imaginais cette magnifique contrée en pleine tempête, une nuit d’automne. La nacre de la rivière, sous ce ciel d’orage, n’en serait rendue que plus belle. Ses reflets irisés témoigneraient de la présence d’une lune timide qui n’aurait jamais été aussi noctiluque, aussi lumineuse que cette nuit-là. Tout aurait été dans l’obscurité la plus totale, mis à part la rivière et la lune : l’horizon serait invisible, les limites de la terre et du ciel se mélangeront à la nuit. Je flotterais dans cette immense atmosphère obscure, pensant à lui, où seuls un trait insignifiant et un minuscule point seraient illuminés, où le temps serait arrêté, me heurtant aux douces rafales de vent, aux caresses de la pluie et aux soyeuses feuilles mortes qui danseraient, pendant ce temps-là, sur leur propre et mélodieuse symphonie. Je serais alors bercée, par leur noble air de musique, par leur paisible romance, dans un rythme régulier, battu par le doux tonnerre, qui gronderait seul au loin."
Il s'agit d'un jeu collectif inventé par les surréalistes, vers 1925. Voici la définition qu'en donne le Dictionnaire abrégé du surréalisme : « jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes». L'exemple, devenu classique, qui a donné son nom au jeu, tient dans la première phrase obtenue :
De la même manière, voici les phrases que Laetitia, Laure, Vianney, Charlotte (arrivée en cours de route) et moi avons obtenu :
Pont "25 de abril" et le "Cristo Rei"
« Il n’y a pour moi de fleurs qui vaillent le miroitement de Lisbonne sous le soleil » - de Fernando Pessoa -
Volcan-fontaine, près du parc de l'Expo 98 - (Photographie prise par moi-même)
Casque de l'engagé Guignol, où est inscrit "Born to kill" et où figure le symbole de la paix
Full metal Jacket est un film montrant les jeunes marines, après leur formation (1ère partie), durant la guerre du Vietnam (2ème partie). Lee Ermey et Vincent D'onofrio donnent une très bonne interprétation de leur personnage, présents uniquement dans la première partie du film : Lee Ermey incarne un sergent instructeur qui conditionne les futurs soldats pour qu'ils deviennent des hommes tuant avec haine et surtout sans réfléchir : tous doivent devenir machines à tuer. Voilà le portrait d'un homme détestable aux répliques cultes, souvent dégradantes, racistes, qui font néanmoins rire («Parce que je suis une peau de vache, vous me haïrez. Mais, plus vous me haïrez, et mieux vous apprendrez. Je suis vache, mais je suis réglo : aucun sectarisme racial ici, je n’ai rien contre les negros, ritals, youpins ou métèques. Ici, vous n’êtes tous que des vrais connards et j’ai pour consigne de balancer tous ceux qui n’ont pas la pointure pour servir ma chère unité ! Tas de punaises, est-ce que c’est clair ?»). Vincent D'onofrio, lui, joue un soldat qui doit péniblement atteindre le même niveau que ses camarades. Il subit les inlassables insultes du sergent Hartman et les vengeances de ses camarades jusqu’au moment où… (suspens). 
L'engagé Guignol et le sergent Hartman
Le film nous plonge, ensuite, quelques années plus tard, au Vietnam, ce qui nous permet de découvrir ce que sont devenu ces soldats. Notons que l'humour, si présent dans la première partie, reste quand même à l'état de trace dans la seconde. On y montre l'horreur de la guerre (perte d'amis très chers, importance d'une prise de décision…).

L'engagé Baleine
BALEINE : "Salut guignol..."
GUIGNOL : "Est-ce que ce sont des vraies balles, ça?"
BALEINE : "Faites 62 mm, balles chemisées métal." (Full metal jacket)
GUIGNOL : "Léonard, si Hartman se pointe ici et nous ceuille, on va se retrouver dans un monde merdique."
l Autre exemple : à Albertville, en Savoie, un incinérateur d’ordures ménagères, qui a laissé échapper un taux de dioxine treize mille fois supérieur aux normes durant un intervalle de seize ans (de 1985 à sa fermeture, en novembre 2001) a provoqué de nombreux abattages d’animaux, à titre préventif, et a certainement été à l’origine de multiples cancers [...]. Dans cette ville, une rue a même été baptisée « Rue des cancers » et nous pouvons désormais observer sur la montagne, comme pour Hollywood, des lettres former le mot «INCINERATUEUR». 
A Albertville...
l De plus, même si elle est traitée dans des stations d’épuration, avant d’être rejetée dans son milieu d’origine, l’eau provenant du lavage des fumées (pour extraire les poussières) peut être à l’origine d’une plus grande pollution de l’eau.
l Ces problèmes de pollution suscitent d’importantes réflexions de la part du gouvernement, qui, s’inquiétant de la santé de l’homme, mais aussi voyant l’état alarmant de notre environnement (nature, plantes, animaux...) se décide à mettre en place des mesures pour limiter ces risques.
2. Les efforts réalisés
l Comme dit le proverbe, « tout problème a une solution. » C’est pour cela, que le gouvernement s’est penché sur les dégâts, déjà conséquents, causés à l’environnement et à ses habitants et a tenté d’envisager des solutions pour y remédier.
l Tout d’abord, pour lutter contre la pollution, certains transports (de papiers, de magazines et de journaux uniquement) se font par voie fluviale : un seul bateau peut contenir alors jusqu’à 400 tonnes de papier, ce qui limite les transports par camions et donc empêche une plus grande pollution. Ainsi, des milliers de camions sont supprimés du réseau routier, chaque année, au profit des bateaux. Les voies ferrées sont également utilisées (ou en voie d’utilisation) : à Bercy, par exemple, le site est connecté aux voies de la gare de Lyon, principalement, et est, par ailleurs, à proximité de la Seine. En ce qui concerne les fumées s’échappant des usines d’incinération [...], elles sont aujourd’hui traitées (les fumées sont d’abord filtrées, puis, lavées) et soumises à une réglementation qui évolue et devient de plus en plus exigeante. [...] Les usines, n’étant pas aux normes, concernant l’émission de dioxines ou même la forme de la cheminée, par exemple, sont contraintes de fermer leur porte, jusqu’à ce qu’elles soient en règle. Ainsi, les incinérateurs d’ordures de Poitiers, de Montauban et de Labeuvrière (Pas-de-Calais) ont été soumis à une fermeture le 28 décembre 2005.


Mes pensées se nappent de fumée,
L'incroyable mémoire de Maximiliano Arellano, un Mexicain âgé de 6 ans seulement, lui permit de donner une conférence sur l'ostéoporose, à la faculté de médecine de l'Etat de Mexico, jeudi dernier. Ainsi, il développa ce sujet pendant une quarantaine de minutes, face à plus de 350 personnes qui découvraient, non seulement un thème qu'ils ne maîtrisaient pas encore tous, mais aussi un enfant en première année de primaire ressemblant intellectuellement à un étudiant de dernière année en médecine.
--Merveilleuse nouvelle : Ivete Sangalo, chanteuse brésilienne, sera en concert le 6 juillet 2006, à Paris (Elysée Montmartre) à partir de 20h00! Le prix des places est de 32,80 euros (si, par hasard, vous en trouvez des moins chères, prévenez-moi : je suis prenante!)
Mais, il expose également des oeuvres d'autres artistes, comme Evarist Vallès (peintre que j'ai découvert durant la visite de ce musée et que j'ai, tout de suite, beaucoup apprécié).
Les oeuvres de Dali qui m'ont le plus touché, marqué (et dont j'ai retenu les noms) sont :
- Galatea des sphères (1952)
- Le plafond du Palais du Vent (1972-1973)